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La France Islamiste (LFI)

  • Isaac Woerlen
  • 11 nov. 2024
  • 4 min de lecture

Dernière mise à jour : 2 déc. 2024


LFI c'est L’hypocrisie érigée en stratégie électoraliste, prêt à sacrifer son pays pour l'offrir à vil prix aux étrangers.


Dans les abysses de la politique la plus pourrie, la plus cynique et perverse se trouve La France Islamiste... euh Insoumise (LFI), ce parti qui, sous le masque rutilant de la justice sociale, vend son pays aux étrangers pour une vile bouchée de pain électoraliste.


Le Dr. Woe, expert en pourripathologies politiques examine ce cas clinique d’une gravité sans précédent : le Syndrome IMMONDE – Idéologie Manipulatrice et Mensongère, visant l’Ostracisme National à Dessin Électoraliste – est une véritable machine de déconstruction républicaine.


La France Islamiste n’est pas un parti : c’est un cabaret de vendus, où chaque mot, chaque posture, est calibré pour séduire une clientèle bien spécifique, quitte à dynamiter la République.


Plongeons dans cette pourripathologie méthodique et cynique.


LFI s'est vendue aux étrangers
Manifestation LFI

Une idéologie manipulatrice et mensongère

LFI : une manipulation systématique des faits, associée à une propagande mensongère. Prenons leur obsession pour l’immigration. Derrière les discours mielleux sur l’humanité et la justice sociale se cache une réalité électoraliste froide. Régulariser 400 000 sans-papiers, ce n’est pas une politique, c’est une promesse conçue pour séduire un électorat spécifique, concentré dans les banlieues des grandes métropoles.


Les chiffres sont implacables. Cette régularisation coûterait entre 4 et 5 milliards d’euros par an, un fardeau supplémentaire pour des services publics déjà au bord de l’effondrement. Les hôpitaux ? Saturés. Les écoles ? Débordées. Mais qu’importe, LFI maquille ce chaos sous le couvert de l’humanisme.


Quant à la suppression des Centres de Rétention Administrative (CRA), qui traitent chaque année 48 000 étrangers en situation irrégulière, c’est la garantie d’un abandon total des outils de contrôle migratoire. Une politique ? Non. Un acte de sabotage réfléchi, dissimulé sous des slogans simplistes, pour flatter un électorat déjà ciblé : les étrangers.


L'ostracisme national érigé en stratégie

LFI ne s’intéresse pas à l’ensemble des Français. Ce parti a délibérément tourné le dos aux campagnes, aux classes moyennes et aux travailleurs ruraux. Leur terrain de jeu, ce sont les banlieues urbaines où se concentrent les populations issues de l’immigration. En attisant les tensions communautaires et en stigmatisant les institutions républicaines, LFI construit un électorat fracturé, opposé au reste du pays.


Dans le théâtre de LFI, la police joue le rôle du méchant, oppresseur des innocents et gardien d’un système qu’il faut démanteler. Cette rhétorique anti-police n’est pas seulement insultante : elle est profondément irresponsable.


Leur discours anti-police est révélateur. Les Brigades Anti-Criminalité (BAC), responsables de 120 000 interpellations par an, sont décrites comme des forces d’oppression. Les slogans tels que « Tout le monde déteste la police », scandés lors des manifestations soutenues par LFI, ne sont jamais désavoués.


Et pourtant, les agressions physiques non crapuleuses ont augmenté de 9 % en 2023, atteignant 860 000 faits recensés. Mais LFI préfère diaboliser les forces de l’ordre, car dans leur rhétorique, la République elle-même est l’ennemie.


Les quartiers sensibles, sont gangrenés par les trafics et la délinquance, et les citoyens, livrés à eux-mêmes, paient le prix de cette démagogie.


Une soumission cynique aux islamistes

LFI n’est pas seulement pro-immigration. Non, ce serait trop simple. Le parti s’aventure sur des terrains bien plus glissants, flirtant avec des causes Pro-islamistes et pro-Hamas pour séduire un électorat musulman qu’elle considère comme sa nouvelle base électorale.


Ce parti flatte les franges les plus radicalisées de la société. Danièle Obono, dans un moment d’égarement ou de calcul, qualifie le Hamas de « mouvement de résistance », ignorant complaisamment les massacres perpétrés par cette organisation. Jean-Luc Mélenchon, lui, préfère détourner les yeux face aux slogans antisémites scandés dans les manifestations qu’il soutient. Pourquoi le ferait-il ? Ce serait risquer de froisser ceux dont il espère les votes.


Pendant ce temps, la République vacille. 4 170 individus fichés pour radicalisation et 80 quartiers sensibles deviennent des enclaves où l’État a perdu son autorité. LFI, loin de combattre ce séparatisme, le nourrit par son silence complice et ses prises de position ambivalentes. Ce n’est pas une politique : c’est une trahison déguisée en 'humanisme".


L'économie sacrifiée sur l’autel de la démagogie

Pour LFI, les entrepreneurs sont des parasites, et les riches, des cibles à abattre. Ces discours populistes masquent une réalité plus sombre : un mépris complet pour ceux qui financent l’État et ses infrastructures. François Ruffin, dans un éclat de rhétorique populiste, lance : « Les riches, on va les faire payer. » Mathilde Panot, de son côté, qualifie les patrons de « parasites », oubliant qu'ils tirent leus rémunérations de l'impôts du privé.


Avec une dette publique déjà à 120 % du PIB, LFI propose une retraite à 60 ans, un coût estimé à 60 milliards d’euros par an, dans un système de retraites affichant déjà un déficit de 13,5 milliards d’euros en 2023. Ajoutez à cela une augmentation du SMIC à 1 600 euros nets, qui mettrait à genoux les 99 % d’entreprises françaises qui sont des PME. Si les investisseurs fuient et que le chômage explose, tant pis ! Moins de patrons, plus de slogans.


Vulgarité et haine : la signature de LFI

Enfin, le grand final : la vulgarité et la haine, érigées en stratégie politique. Mélenchon tonne : « La République, c’est moi ! », une phrase qui résume son égo démesuré. Mathilde Panot hurle : « Vous êtes les fossoyeurs de la République ! », ignorant qu’elle tient elle-même la pelle. François Ruffin, fidèle à sa rhétorique populiste, déclare : « Rentrez dans vos beaux quartiers pendant que les pauvres crèvent ! ».


Et les journalistes, bien sûr, sont les « chiens de garde du système », une insulte qui a pour but de museler toute critique légitime. En 2023, LFI a été impliquée dans 8 incidents majeurs à l’Assemblée nationale, transformant le débat public en une arène d’invectives et de chaos.


LFI embrasse la cause de l'islam
Manifestation LFI

La république trahie

LFI incarne le syndrome IMMONDE dans sa forme la plus virulente. Manipulation, mensonges, division et destruction : ce parti ne construit rien. Il fracture, il oppose, et il trahit. En vendant la République aux extrémismes et en sacrifiant l’unité nationale sur l’autel de ses ambitions électorales, LFI trahit tout ce que la France représente. Ce n’est pas un parti politique : c’est une entreprise de destruction méthodique. Et si nous ne nous réveillons pas, ce poison, distillé jour après jour, finira par paralyser la nation.

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