La Ballade des Pendus
- Isaac Woerlen
- 23 nov. 2024
- 3 min de lecture
Dernière mise à jour : 1 déc. 2024
Dans cette ballade sombre et poignante, nous plongeons dans les méandres des âmes tourmentées de ceux qui haïssent et trahissent leur pays.
Les personnages sont ici dépeints dans toute la noirceur de leurs actions et de leurs paroles. Leurs chefs d'accusation sont nombreux, et leur châtiment, inévitable.

J'accuse
Mélenchon, Coquerel, Hassan, Rousseau, Quatennens, Panot, Batho, Bompard, Corbière, Cormand, Delli, Jadot, Bayou, Obono, Autain, Sas, Tondelier et leurs comparses.
De crime contre le peuple
Amis, voyez ces masques de vertu,
Qui couvrent la haine de slogans malvenus.
Leur antisémitisme glisse, sournois, rampant,
Dans leurs discours tordus, aux faux accents.
Ils divisent la France, piétinent son passé,
Oublient les morts qui l’ont tant honorée.
Ils pactisent avec l’ennemi, leur tendent la main,
Et trahissent les leurs pour des rêves incertains.
Ils parlent de paix mais cultivent la guerre,
Détruisent nos racines pour d’autres chimères.
Mes amis, leur violence est le poison du peuple,
Un venin qui tue tout, jusqu’à l’espoir infime.
Ils arment la rue, brisent les lois communes,
Et transforment la nation en arène importune.
Leur hypocrisie éclate dans leurs actes minables,
Ils promettent le ciel mais livrent l’épouvantable.
Leurs fausses vertus sont des chaînes invisibles,
Qui étranglent la patrie et la rendent impassible.
Leurs cris, leurs injures, leurs diatribes haineuses,
Déchirent l’Assemblée en un chaos d’honneurs creux.
Ils parlent de justice, mais sèment l’oppression,
Détruisant la maison au nom de leurs passions.
Mes frères, ces pourripathes détruisent tout sur leur passage,
Ils brûlent nos champs, ils salissent nos visages.
Il n’est pas de pardon pour des traîtres si fiers,
Leur sort est scellé, leur trahison claire.
Ils prônent l’écologie, mais tout est mensonge,
Ils détruisent le vert qu’ils disent qu’ils prolongent.
Ils haïssent la France, ses couleurs, son drapeau,
Et souhaitent la livrer à des maux plus nouveaux.
Ces criminels en parole, ces tyrans des débats,
Ne méritent qu’un châtiment pour leurs faux combats.
Leur châtiment est inéluctable
Qu’ils pendent tous aux branches qu’ils ont coupées,
Leurs corps battus par le vent de leurs forfaits.
Leur souffle se perdra dans le cri des damnés,
Leurs mensonges noués en chaînes sur leurs plaies.
Que leurs langues pourrissent dans leur propre venin,
Qu’elles se tordent sous le poids de leurs serments.
Leurs yeux verront les cendres de leurs destins,
Et leurs nuits seront hantées d’échos déchirants.
Que chaque coup qu’ils ont porté aux vivants
Revienne les frapper mille fois plus puissant.
Leur haine, leur folie, leur violence aveugle
Les cloueront au pilori sous les regards lugubres.
Le feu qu’ils ont allumé pour brûler la cité
Sera leur enfer, leur éternité.
Qu’ils tombent ensuite dans l’abîme sans fond,
Là où les flammes muettes consument les âmes sans nom.
Qu’ils errent sur des terres de cendres et de verre,
Leurs pieds déchirés, mordus par des éclairs.
Que des vents brûlants arrachent leur chair en lambeaux,
Chaque rafale un rappel des corps qu’ils ont jetés à l’eau.
Leur soif ne sera étanchée que par des rivières d’acide,
Et leurs plaintes se perdront dans un vide morbide.
Leurs ombres, déchirées, marcheront sans fin,
Vagabonds pour l’éternité dans des déserts divins.
Qu’ils gémissent, qu’ils pleurent, qu’ils implorent pardon,
Mais nul ne répondra, pas même le néant.
Leur gloire sera oubliée, leur nom effacé,
Et la poussière accueillera leur éternité.
Quand leurs âmes voudront s’éteindre pour fuir ce trépas,
Elles découvriront qu’en l’éternité, la mort n’existe pas.

PENDU : Pourriture Étendue Nourrie de Discordes et d'Utopies
Ainsi s’achève leur funeste chemin,
Ombres perdues, pendues à leur destin.
Moi, Docteur Woe, d’un regard accablé,
Je pose mon verdict sur ce mal incarné :
"Leur sort est scellé, il n’est plus de recours,
Car leur poison gangrène jusqu’à nos jours.
Le mal qui les ronge a un nom désigné :
PENDU, ce fléau qu’ils ont cultivé.
Pourriture Étendue, corrompant la raison,
Nourrie de Discordes et vaines illusions.
Leurs Utopies creuses, bâties sur le néant,
Ont dévasté les cœurs et brûlé les champs.
Ils resteront pour toujours suspendus,
Réduits au silence, leurs crimes entendus.
Qu’à leur mémoire, rien ne soit jamais rendu,
Car tel est le sort des esprits corrompus."