Du SHIT dans la Nouvelle Fosse à Purin

Quand le Docteur Woe détecte un cas de SHIT (Syndrome d’Hostilité Infectieuse et de Trahison) agravé chez les pourripathes du NFP.

Examen clinique

Le NFP (Nouvelle Fosse à Purin), un groupe en décomposition où Socialistes, Verts et Insoumis s’agrippent les uns aux autres par nécessité, tout en se détestant cordialement, est devenu une fosse à purin. Tous des pourris !

Derrière les sourires publics et les poignées de main forcées, c’est une guerre froide de mépris, de trahisons et de calculs sordides qui se joue. Vautrés dans le purin de la haine, ils se délectent de coups bas où l'hypocrisie est reine, et la trahison en est le plat quotidien. Chacun sait qu’il ne doit sa survie qu’à la faiblesse des autres, et tous se préparent en secret à faire tomber leurs « alliés » dès que l’occasion se présentera.

Les Socialistes, jadis grands patrons de la gauche, haineux jusqu'aux dents, tolèrent les Insoumis comme on supporte un parasite tenace. Ils affichent un sourire de circonstance, mais rêvent que Mélenchon et ses débiles de service s’effondrent, engloutis par leurs excès. En attendant, à l'image de François Hollande, ils s'agenouillent honteusement devant le monstre rouge, en gobent les vomissures et en lèches les chiures répugnantes sans même broncher.

Les Verts, eux, se forcent à respirer dans cette fosse nauséabonde, hochant la tête pour la forme tout en maugréant, en coulisses, sur les vociférations de Mélenchon et de ses acolytes qu’ils jugent incontrôlables, bruyants et grossiers. Frappés de mélenchonite aiguë, ils avalent à longueur de journée les logorrhées fécales du terroriste Insoumis.

Les Insoumis sèment la terreur, ils toisent leurs "partenaires" avec une arrogance insultante. Pour eux les socialistes sont des bourgeois délavés, et même dépravés. Les Verts sont des rêveurs sans envergure sensés aboyer quand le chef commande. En réalité, les Insoumis tolère leurs partenaires comme on tolère des boulets, prête à les lâcher dès qu’elle pourra se hisser seule au sommet.

Vautrés dans le purin de la politique politicienne, ils sont ideux. Chaque sourire est venimeux, chaque mot cache une insulte, chaque accolade n’est qu’un coup bas en préparation. Le langage est vulgaire, le ton méprisant, et l’idéologie n’est qu’un cache-misère pour masquer la vacuité des ambitions et la puanteur des intentions.

Le Diagnostic du Docteur Woe

Le diagnostic est sans appel : les pourripathes du NFP sont en pleine crise de SHIT (Syndrome d’Hostilité Infectieuse et de Trahison), une affection avancée où la trahison, l’hypocrisie et la sournoiserie infectent les relations politiques les rendant putrides et corrosives.

Cette pourripathologie dévastatrice entraîne une détérioration morale complète, rendant chaque interaction plus toxique que la précédente. Les patients atteints de SHIT ne peuvent plus fonctionner sans conspirer, mentir et détester leurs partenaires. Ils affichent des sourires hypocrites, produisent des discours vulgaires, et leurs motivations sont aussi nauséabondes que leurs échanges.

Sous cette maladie, chaque sourire n’est qu’un masque pour cacher des intentions perfides, et chaque discours déborde de duplicité.

Le Nouveau Front Populaire (NFP) est en phase terminale du syndrome de SHIT: cette entente corrosive n’est plus qu’une fabrique de sournoiseries, de manipulations et de rancœurs. Ce groupe, gangrené par la fausse solidarité et les calculs perfides, est un véritable foyer de toxicité politique.

Chaque membre, rongé par la méfiance et l’hypocrisie, agit tel un agent infectieux, propulsant une toxicité morale si intense qu’elle en devient contagieuse. Les discours dégoulinent d'hypocrisie, les sourires sont des masques, et les poignées de main dissimulent des intentions empoisonnées. Tout n’est que spectacle trompeur et duplicité.

Dans ce cloaque politique où l’apparence de cohésion sert uniquement à masquer la méchanceté calculée. La NFP diffuse dans l’arène publique un climat de manipulation toxique, au point que le peuple risque une contamination par cette épidémie de bassesse de la honte. Ce qui se joue ici n’est plus une simple divergence d’opinions, mais une propagation alarmante de toxicité morale et de manipulations destructrices.

Prescription médicale

Un traitement radical d'isolement social draconien s'impose. Les patients atteints de SHIT sont une menace sociétale imminente, avec un potentiel de contamination de la scène politique terrifiant. Pire encore, leur poison moral peut se répandre comme une peste dans la société tout entière.

Seul un isolement ferme et impitoyable pourrait éviter la propagation de cette corruption morale qui, autrement, infiltrerait et gangrènerait l'ensemble du tissu social.