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La macronade nucléaire

  • Isaac Woerlen
  • 31 oct. 2024
  • 4 min de lecture

Dernière mise à jour : 26 nov. 2024

La France est arrivée au XXIᵉ siècle, et pourtant sa classe politique est telle un hôpital frappé du syndrome STUPIDE : Stratagèmes et Tactiques Utilisées Périodiquement et Incarnant l'Échec.


MACRON, déjà diagnostiqué avec un autre syndrome virulent (voir ici) en est un illustre représentant. Après avoir décidé de la fermeture de centrales nucléaires sûres et rentables, il annonce fièrement leur reconstruction quelques années plus tard.

Une manœuvre symptomatique de la pourripathologie politique, cette maladie chronique qui gangrène nos élites, les poussant à jouer avec les nerfs et le portefeuille des citoyens.


Prenez place, chers amis, pendant que je vous dissèque ce chef-d’œuvre de contradictions, où chaque décision semble soigneusement calibrée pour être pire que la précédente.


Les conséquences folles de la politique nucléaire de Macron

Hollande et Macron : Les stratèges du désastre


Tout commence en 2012, sous François Hollande, véritable maître ès traitrise. Ayant besoin des voix des écologistes pour emporter la campagne présidentielle, il leur promet de réduire la part du nucléaire à 50 % et de fermer quelques centrales. Une escroquerie politique allant à l'encontre des besoins énergétiques du pays. Et qui était là, dans l’ombre et peaufinant les calculs électoraux ? Emmanuel Macron, bien sûr, déjà contaminé par la pourripathologie ambiante.


Le point d’orgue de cette mascarade ? La fermeture de Fessenheim en juin 2020. Une centrale nucléaire parfaitement opérationnelle, validée comme sûre par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), mais sacrifiée pour honorer une promesse aussi absurde qu’un barbecue sous la pluie.


Et tout cela, mes amis, au nom d’une "transition écologique" qui a consisté à importer l'électricité allemande faite à partir de charbon et du gaz russe. Si c’est ça la stratégie, je propose qu’on embauche des enfants pour rédiger les prochaines politiques énergétiques : ils feraient sûrement mieux.


Macron : De pyromane à pompier de fortune


Et là, chers amis, l’ironie atteint son sommet. Quelques mois seulement après avoir fermé Fessenheim (en 2020), Macron décide de relancer le nucléaire français. Oui, celui-là même qu’il s’était appliqué à détruire. Il annonce la construction de six réacteurs EPR2 à Penly, Gravelines et Bugey, avec huit autres à l’horizon 2050. Macron, qui se rêvait en jeune prodige réformateur, se transforme en pompier tardif, tentant d’éteindre l’incendie qu’il a lui-même allumé.


Pourquoi ce retournement ?

Pas par clairvoyance, mais parce que Poutine a décidé de couper le gaz, exposant brutalement la fragilité du système énergétique européen. Macron, STUPIDE à outrance, improvise une nouvelle tactique pour sauver les meubles.


Mais ces nouvelles centrales, si elles voient le jour, ne seront opérationnelles qu’en 2035. En attendant, la France, jadis championne de l’électricité, est devenue mendiant énergétique. Une humiliation historique que notre président parvient encore à emballer comme un triomphe.


La facture du STUPIDE : Ruine et obscurité


Que coûte cette gestion calamiteuse ? Bien plus que ce que les Français réalisent :


Le démantèlement de Fessenheim : Une opération absurde et coûteuse, évaluée à plus de 400 millions d’euros, alors que la centrale aurait pu encore fonctionner des décennies.

La perte des savoir-faire : En fermant des réacteurs, la France a laissé ses meilleurs ingénieurs partir à l’étranger ou se reconvertir, un gâchis industriel qui nous force aujourd’hui à tout reconstruire.


La construction des nouvelles centrales : Les réacteurs EPR2 coûtent des milliards d’euros, avec des risques majeurs de dépassements budgétaires et des délais interminables.

Le manque à gagner : En stoppant ses exportations d’électricité, la France a perdu des milliards d’euros et sa place de leader énergétique européen.


Pendant ce temps, les factures des ménages explosent, les coupures hivernales menacent, et les industriels fuient vers des cieux plus cléments. Mais ne vous inquiétez pas : le gouvernement, dans sa pourripathologie avancée, assure qu’il a tout sous contrôle. Vous sentez venir le black-out ? Ce n’est qu’un détail.


Macron : Le président pourripathe


Macron, atteint de pourripathologie aiguë, ne gouverne pas. Il réagit. Ses décisions ne sont pas guidées par une vision à long terme, mais par une obsession de plaire à tout le monde, tout en échouant auprès de chacun.


Ministre, il soutient la fermeture des réacteurs pour satisfaire les écologistes. Président, il ferme Fessenheim par opportunisme. Puis, quelques mois plus tard, il promet un grand plan nucléaire pour calmer la crise. Un jour pompier, le lendemain pyromane : Macron est à la gestion énergétique ce que les marées sont aux dunes, un phénomène chaotique et destructeur.


STUPIDE, une fatalité en politique


Avec Macron, les Français ont découvert les joies du STUPIDE en action. Fermer des centrales pour en reconstruire, tout en perdant de l’argent, des compétences et de l’énergie : voilà un exploit qui aurait valu une standing ovation dans tout autre pays… si ce pays n’était pas en train de grelotter dans le noir.


Alors, chers amis, sortez vos bougies et vos générateurs. Avec la pourripathologie au sommet de l’État, l’avenir de notre éclairage est au mieux incertain, mais au moins, on pourra en rire au coin du feu. Si feu, il reste.


Macron a détruit le nucléaire français


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