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PUBLIC

Persécution, Ultracontrôle, Bureaucratie, Lourdeur, Inquisition, Compulsion fiscale

PUBLIC : Persécution, Ultracontrôle, Bureaucratie, Lourdeur, Inquisition, Compulsion fiscale

Définition

PUBLIC : Persécution, Ultracontrôle, Bureaucratie, Lourdeur, Inquisition, Compulsion fiscale


Pathologie ultime, PUBLIC est le fléau du citoyen Moderne. C'est l’une des maladies pourripathes les plus insidieuses, les plus pernicieuses et, disons-le franchement, les plus dangereuses pour la santé mentale, économique et même physique de chaque citoyen.


Le redoutable syndrome PUBLIC, est une pathologie d’une virulence exceptionnelle, qui s’attaque non seulement au corps de l’État mais, hélas, à tout le tissu social et économique qui le soutient.


Ce n’est pas une simple petite fièvre administrative, un rhume fiscal passager. Non, le syndrome PUBLIC est une maladie systémique, une véritable gangrène qui infecte l’ensemble des relations entre l’État et ses citoyens. Le patient zéro ? L’État lui-même, bien sûr, qui, dans un élan d’autosabotage, a développé cette affection. Mais les véritables victimes ? Vous, moi, et tous les acteurs de ce fameux « village du privé », sans lequel il n’y aurait ni hôpital, ni école, ni administration, ni rien du tout, d’ailleurs.


Le syndrome PUBLIC se manifeste par une série de symptômes, chacun plus délétère que le précédent. Le premier, et non des moindres, est ce délire de persécution où l’État, atteint de paranoïa aiguë, voit dans chaque entrepreneur un saboteur potentiel, dans chaque chef d’entreprise un escroc qui ne demande qu’à trahir la nation. Le citoyen lambda, qui ose rêver d’indépendance ou de créativité, est immédiatement étiqueté comme suspect.

Résultat ? Un climat d’hostilité généralisée, où toute initiative privée est accueillie par des regards méfiants et une avalanche de contrôles.


Mais ce n’est que le début. Le syndrome s’aggrave rapidement avec l’ultracontrôle : un besoin compulsif de tout encadrer, de tout réglementer, jusqu’à l’absurde. L’État, dans un accès de fièvre régulatrice, impose des lois, des normes, et des contraintes si complexes qu’elles finissent par étouffer la moindre étincelle d’innovation. Imaginez un marathon où chaque coureur doit porter un sac de ciment de 50 kilos. Voilà ce qu’est la vie d’un entrepreneur sous l’empire du syndrome PUBLIC.


La bureaucratie, quant à elle, agit comme une toxine qui se propage dans tout l’organisme administratif. Les démarches deviennent interminables, les formulaires se multiplient comme des cellules cancéreuses, et les citoyens sont pris au piège d’un labyrinthe procédural dont même le Minotaure se lasserait. C’est un cercle vicieux, où chaque problème appelle une nouvelle réglementation, qui engendre à son tour d’autres problèmes, et ainsi de suite.


Et que dire de la lourdeur institutionnelle ? L’inertie administrative est telle que chaque interaction avec l’État devient une épreuve digne d’un jeu sadique. Besoin d’un permis ? Préparez-vous à une odyssée qui ferait passer l’histoire d’Ulysse pour une promenade de santé. Une déclaration à faire ? Mieux vaut prier pour une intervention divine, car il vous faudra au moins cela pour venir à bout des exigences absurdes imposées par le système.


Puis vient le summum de la pathologie : l’inquisition fiscale. Là, l’État, dans un élan de suspicion généralisée, traque chaque citoyen, chaque employeur, chaque indépendant comme un potentiel fraudeur. Les contrôles se multiplient, les amendes pleuvent, et le citoyen se retrouve à devoir prouver son innocence dans un système où il est présumé coupable.


Et enfin, comme si tout cela ne suffisait pas, nous avons la compulsion fiscale. Ah, cette passion dévorante pour le prélèvement, ce besoin irrépressible de presser encore et encore le citron du secteur privé, jusqu’à ce qu’il ne reste plus une goutte de jus. Peu importe si cela détruit des entreprises, pousse à la délocalisation, ou précipite des milliers de salariés dans la précarité. L’État atteint du syndrome PUBLIC ne voit qu’une chose : ses propres caisses, et tant pis pour le reste.


Le résultat ? Une spirale infernale, où l’État s’autodétruit tout en entraînant dans sa chute les citoyens qui dépendent de lui. Chaque taxe supplémentaire, chaque règlement absurde, chaque démarche inutile fragilise un peu plus le secteur privé, ce pilier de la société. Et quand ce pilier s’effondre, c’est tout l’édifice qui s’écroule.


Soyons clairs : le syndrome PUBLIC est l’une des plus grandes menaces pour la santé du citoyen. Il étouffe l’économie, tue l’initiative, et installe un climat de défiance généralisée. Si rien n’est fait, cette pathologie pourripathe risque de devenir irréversible, emportant avec elle tout ce qui fait la vitalité d’une nation.

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