PERVERS
Politique Européenne Rigide Visant à Encadrer et Réguler sans Succès

Définition
PERVERS : Politique Européenne Rigide Visant à Encadrer et Réguler sans Succès
Ah, les PERVERS... Non, pas ceux qui s’amusent dans l’ombre avec des intentions douteuses, mais bien pire : les technocrates fabriquant des Politiques Européennes Rigides Visant à Encadrer et Réguler sans Succès. Oui, cher lecteur, cette engeance bureaucratique représente l’apothéose du contrôle étatique mal ficelé. Des technocrates aux costumes bien taillés, enfermés dans leurs tours d’ivoire, y pondent des règles aussi inutiles qu’étouffantes, croyant naïvement qu’elles suffiront à sauver le monde.
Les intentions de départ, je l’admets, sont presque charmantes : créer un cadre protecteur, stabiliser les marchés, garantir une justice universelle. Mais voilà, un bon plat nécessite un bon cuisinier, et dans ce cas, nos chefs sont sourds aux réalités du terrain. Ce qu’ils concoctent dans leurs bureaux aseptisés, ce sont des plans standardisés, conçus avec la finesse d’une masse qui frappe un vase en cristal. Les résultats ? Vous les connaissez : chaos, inefficacité et colère.
Leur erreur monumentale ? La rigidité. Ils veulent tout contrôler, tout uniformiser, comme si un petit vignoble du sud de la France devait obéir aux mêmes règles qu’un champ de betteraves en Pologne. Pas d’ajustement, pas de prise en compte des spécificités locales. Résultat : une cascade de dysfonctionnements. Ce qui devrait être une main tendue devient une camisole de force. Bravo, messieurs les technocrates, vous excellez dans l’art de rendre compliqué ce qui pourrait être simple.
Mais attendez, ce n’est pas tout. Les PERVERS transforment leurs victimes en dépendants. Les bénéficiaires de ces politiques, autrefois maîtres de leur destin, se retrouvent ligotés à un système dont ils ne peuvent plus s’échapper. Les subventions, ces injections régulières de "solution miracle", deviennent une drogue. Vous voulez produire ? Remplissez un formulaire. Vous voulez survivre ? Attendez votre allocation. Et ainsi, l’autonomie meurt, remplacée par une tutelle imposée. Magnifique, n’est-ce pas ?
Ajoutez à cela une paperasse digne d’un roman dystopique. La gestion des PERVERS, c’est un cauchemar administratif où les règles se multiplient plus vite que les lapins. Pendant que les petites exploitations peinent à sortir la tête de l’eau, les grandes structures s’en sortent à merveille. Elles savent danser avec les directives, contourner les obstacles, et au final, ce sont toujours les mêmes qui trinquent.
Et alors que tout cela devrait répondre à un problème, devinez quoi ? Les PERVERS aggravent les maux qu’ils prétendent guérir. Au lieu de libérer l’initiative, ils la brident. Au lieu d’offrir des solutions, ils créent des dépendances. Leur rigidité, leur lourdeur, leur aveuglement face aux réalités concrètes transforment chaque bonne intention en un échec annoncé.
En conclusion ? Les PERVERS, mes amis, sont les symptômes d’un mal bien plus grand : une Europe qui s’acharne à tout réguler sans jamais se remettre en question. Alors oui, brûlons ces directives inutiles et rendons la liberté à ceux qui en ont besoin. Je suis le Docteur Woe, et aujourd’hui encore, je préconise une révolution.